Une définition romane de musarde…

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Extrait du glossaire de la langue romane de Jean-Baptiste-Bonaventue de Roquefort, rédigé d’après les manuscrits de la bibliothèque impériale.

Ça n’est pas tout-à-fait comme ça que je comprends le sens de ce mot aujourd’hui, les temps ont un peu changés depuis l’époque romane. Je me réferrerai plutôt au aspects créatifs de la flânerie, ce qui est une façon un peu moins gratuite de musarder. Dans le mot musarde il y a muse que l’on peut transformer en s’amuser, mais comment désigner autrement la vacuité  au service de la recherche en matière d’art?

3 Responses to “Une définition romane de musarde…”

  1. James dit :

    Mais moi je la trouve très bien cette définition romane… Si elle était un peu plus en application, la course au profit serait moins grande et… la violence qui l’accompagne serait marginale NAH!!!
    Heu !!! à dire vrai je croyais que musarde était de la même souche éthymologique que « musa-raigne »
    James

  2. Musarde dit :

    Tu veux dire la muse à reigne… celle qui dirige secrètement la création?

  3. James dit :

    Ben non je ne vois pas ça comme ça. Si on s’en tient à la « muse a reigne » cela veut aussi qu’elle a reigné et la muse à  Rainier c’était la Grace, donc rien a voir avec la bestiole qui pandouille au bout de son fil… c’est cul èf dé HEIN!!!

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