Wim Delvoye, formidable plasticien

Je n’en reviens pas de l’incroyable production de cet artiste actuellement exposé à la Foire de Bâle, jugez-en.

Les engins:
[photopress:Wim_Delvoye.jpg,full,pp_image] [photopress:Wim_Delvoye_engin.jpg,full,pp_image] [photopress:La_b_ronni_re.jpg,full,pp_image] [photopress:Delvoye_b_tonneuse.jpg,full,pp_image[photopress:Delvoye_b_tonneuse.jpg,full,pp_image][photopress:DumpTruckbd_1.jpg,full,pp_image]

La chapelle:
[photopress:Delvoye_Chapelle.jpg,full,pp_image]

Les cochons tatoués:
http://meszistoiramoua.over-blog.com/article-2580177.html
[photopress:Ariellebd1.jpg,full,pp_image]

La machine à produire de la merde:
http://www.luxiotte.net/arts/expos2004b/delvoye1.htm#note01 
http://www.cloaca.be/machines.htm
[photopress:Delvoye_Cokecannisterbd.jpg,full,pp_image]

Plus encore:
http://www.galerieperrotin.com/artiste_.php?id_=116&&nom_=Wim%20Delvoye&&dossier=Wim_Delvoye#
[photopress:12Ironingboards2bd.jpg,full,pp_image]

4 Responses to “Wim Delvoye, formidable plasticien”

  1. epinen dit :

    Je suis content de voir ces photos. Elles me guérissent d’un préjugé qui ne me coûtait rien, mais me rendait injuste. La lecture d’une longue interview de Jim Delvoye, parue dans Le Monde il y a un an ou deux, me l’avait fait classer dans la catégorie des joyeux farceurs plus ou moins pataphysiciens. C’est que cette grande page contenait beaucoup de théories et de grands principes verbeux, mais pas d’illustration.
    Maintenant, je vois les choses bien autrement, et je me sens plus riche.
    Merci Musarde !

  2. lancelot dit :

    Très très intéressant comme billet. Merci de m’avoir fait découvrir cet artiste original.

  3. Musarde dit :

    Merci Lancelot pour ton passage, je suis peu présente sur la toile cet été à cause de mon déménagement, mais je reviendrai bientôt. J’ai bien aimé ton reportage sur les squats de Genève. Amicalement.

  4. […] Wim Delvoye is the artist famous for his work in tattooing hogs, if you’re familiar (I was, barely). Many of the above images came from Le journal de Musarde and Everyone Forever. […]